Christian

Qu’est-ce que tu souhaites aux collègues pour 2022 ?
Une excellente santé, énormément de bonheur et de choyer les personnes qui leurs sont chères.

Depuis combien de temps es-tu au syndicat ?
Un peu plus de 2 ans.

Et avant cela ?
Après avoir été sportif professionnel de Volley de mes 16 à mes 32 ans, je suis rentré au CCAS au service du RMI à l’époque et presque 10 ans après, au cabinet des élus.

Comment expliquer le passage du Cabinet des élus à FO ?
Je suis un agent qui va là où on lui dit d’aller, faire ce qu’on lui demande. Ma motivation professionnelle ressemble à mon engagement sportif au fond et cela se traduit par faire de mon mieux. C’est suite à une réorganisation que j’ai dû trouver une autre affectation. Elodie Roux m’a été présentée par une amie commune, elle m’a accueilli et je suis resté.

Pourquoi tu t’es investi ?
Comme beaucoup d’agents de nos collectivités, je pensais que les syndicats ne servaient à rien et quand j’ai découvert au sein de FO tout l’intérêt et la bienveillance qui étaient portés aux agents, j’ai eu envie de m’investir aussi.

Quelles sont tes missions ?
L’équipe terrain était en pause et j’étais curieux de découvrir ce secteur d’activité. J’avais déjà un bagage d’accueil avec le RMI, alors avec l’accord d’Elodie et celle qui est devenue mon binôme, nous avons commencé par sillonner la ville par quartier, puis par secteur d’activité et par Directions. Nous avons découvert des métiers, des situations dont je ne me doutais pas.

Qu’est-ce qui t’a choquée cette année ?
Ce qui me choque ?! Il y a tellement de choses qui me choquent que la liste serait trop longue, mais par contre je suis impressionné par l’être humain qui arrive toujours par se relever et repousser à chaque fois ses limites.

Est-ce qu’il y eu une particularité pro cette année qui t’a fait sortir de ta zone de confort tu peux nous dire laquelle ?
La zone de confort sur le terrain, il n’y en a pas vraiment car la variété des secteurs fait qu’il faut partir de rien et s’attendre à tout. Peut-être que la difficulté, a plus été dans l’intensification des échanges avec les collègues permanents et autres intervenants internes, car dans la restitution de ce que l’on voit, il y a des éléments qui permettent de faire des interventions CHSCT, ou des courriers à l’administration, et ces situations nouvelles m’ont parfois bousculé, pour autant, j’ai appris de chacune.

Est-ce que cette première interview a été pénible ?
Pour être honnête un peu, car je n’aime pas me livrer et parler de moi.